Leguideinfo.net : Les croassements des corbeaux, les aboiements des chiens, le hurlement des loups tapis dans la bergerie, les louvoiements des furieux avec la décision de la Commission électorale sur le report de l’assemblée générale initialement prévue à la date du 08 Mai 2025 à une date ultérieure, les vendeurs d’illusions tous se sont coalisés et ont décidé, parce qu’ils en sont dépourvus, leur seul recours est de tenter à salir la réputation de la Commission électorale.
En affairistes en colère ils essayent par l’entremise d’amateurs de bas niveau d’oiseaux de mauvaise augure, d’entreprendre une manœuvre diffamatoire contre Maître Abdoul Karim DIABY le Président de la Commission électorale indépendante de la Fédération guinéenne de football. Quels minables qui de surcroît ne peuvent succomber personne, pour des pitres qu’ils sont, puisqu’ils sont incapables de réussir cette tentative à plonger l’opinion publique dans le sommeil hypnotique de l’inconscient.
Le peuple Guinéen toujours éveillé continue de garder les yeux ouverts, sourd et aveugle à ce piteux spectacle qui, sans plus tarder va quitter l’affiche Devant la solide réputation de cette Commission électorale incarnée par la personne de son Président Maître Abdoul Karim DIABY.
La réputation de Maître DIABY le précède lui-même, homme de foi, digne héritier des oulémas fondateurs qui ont sur les fonds baptismaux les plus fameux empires théocratiques de l’espace musulmans (suivez mon regard : TOUBA Mali, Touba Guinée,TOUBA Côte d’Ivoire et enfin TOUBA Sénégal qui a emprunté son nom à TOUBA Sénégal avec la Bénédiction de Karamokoba DIABY ! Encore partout porteurs intemporels de valeurs cardinales …)
C’est sa réputation qui inspire le respect aussi bien sur le plan épistémologique donc dû savoir que axiologique donc des valeurs. C’est vous dire qu’il a fait déjà le plus du travail qu’il doit exécuter avant même qu’il n’arriva à la Commission électorale de la Fédération de Football de Guinée. Son succès dépend de son triomphe passé. Avocat abouti passant par tout le processus d’acquisition du savoir et de la connaissance du droit et de la profession il a souvent été choisi comme président des jury d’examens pour accéder à la magistrature ou aux professions d’avocat et d’huissier de justice. Cette réputation simple est fondée sur la qualité aussi simple que le talent, l’efficacité avec comme valeur ajoutée la droiture et l’intégrité intellectuelle et morale.
Son expérience lui a donné à profusion des situations de conflits latents ou manifestes dans sa vie au quotidien. Sa fonction au sein de la Commission électorale lui a donné dans sa vie au quotidien beaucoup de situations de conflits. Cette fonction constitue également un terrain où les jeux de pouvoirs, d’influence et des ambitions sont omniprésents. Cette vie en groupe au sein de la Commission électorale est aussi le théâtre où plusieurs niveaux de conflits sont constamment en interaction à la fois au niveau institutionnel, au niveau des membres du groupe qu’il préside, voire au niveau individuel.
– Au niveau institutionnel le conflit traduit des dysfonctionnements au niveau organisationnel;
– Au niveau de la Commission électorale le conflit interpersonnel pour des intérêts purement personnels au détriment de l’intérêt général de la Fédération guinéenne de football .
– Au niveau individuel inter-psychique par une dissonance cognitive propre au trouble de la personnalité manifesté par l’écart entre le comportement de l’individu et l’application des normes.
Le contexte de la tension qui prévaut au sein de Fédération guinéenne de football correspond à l’obligation statutaire de pourvoir le COMEX par l’assemblée générale ordinaire dans ses compétences électives, des postes vacants re-pourvus ou non à des personnes non investies par voie électorale. Cette question somme toute très simple a créé cette situation de tension dans laquelle plusieurs antagonistes dépendant pourtant les uns des autres, tentent, en essayant de mettre la pression sur la Commission électorale et susciter ainsi un parti pris de certains de ses membres pour faire passer leurs plans ou leur bon vouloir manifestement inconciliable, alors même que tous ces protagonistes sont conscients de leurs oppositions qui conduisent directement à l’affrontement.
Nous savons tous que la Fédération guinéenne de football génère souvent des tensions, sa maladie congénitale. Justement c’est pourquoi la Commission électorale indépendante de la Fédération est instituée avec pour missions de trouver des solutions à ces conflits objectifs dégénératifs lesquels sont caractérisés par un mélange de sentiments, émotions mais de fantaisies aussi, entraînant pour certains stress et erreurs qui fécondent et entretiennent les tensions et conflits dans les relations personnelles, dans les travaux de la CE et aussi dans la vie au quotidien tout court.
C’est la raison pour laquelle il est impératif de savoir ou d’apprendre à savoir comment résoudre ces conflits objectifs au départ de divergences ou d’incompréhension pour éviter qu’elles ne virent en batailles de tranchées et en affrontements entre des camps en position derrière des lignes ‘’Maginot’’.
Pour démêler cet écheveau pourtant pas extrêmement noué, la Commission électorale a rappelé aux protagoniste plus précisément au Secrétaire général de la Fédération guinéenne de football sous sa saisine pour avis de faire application de l’article 36 des statuts de la Fédération notamment en son Alinéa 8 qui renvoie à l’article 29 Alinéa 4 des dits statuts et à l’article 7 et suivants du code électorale
L’article 36 des statuts de la Fédération guinéenne de football fait obligation de coupler l’élection aux fins de comblement des postes vacants du COMEX à la plus prochaine tenue de l’assemblée générale ordinaire.
Par cette disposition le cas échéant cette Assemblée ordinaire, par sa fonction élective dans le cas du comblement du COMEX, renvoie aux dispositions impératives de l’article 29 Alinéa 4 des statuts qui disposent » que l’élection des membres du COMEX se fait conformément aux dispositions du code électoral «
Et voilà ce qui explique pour ceux qui ne comprennent pas et justifie devant les nihilistes et mercenaires de la plume et de la parole le rôle majeur exclusif de la Commission électorale dans l’organisation, la validation du processus électoral à quelque titre que ce soit et quelque soit la nature ou l’objet de l’élection.
À ce titre elle est dotée des compétences les plus étendues pour veiller aux respects des statuts et du code électoral mais surtout au respect des délais réglementaires (voir article 7 code électoral). Ce sont là des dispositions nettes et précises qui ne souffrent d’aucune ambiguïté pour ceux qui sont censés comprendre et attachés à la vérité. Quoi de plus simple. Il ne peut faire place à plus de clarification ou d’interprétation dans ce conflit objectif, aussi bien du point de vue factuel que textuel. Tout ici est dans les faits engagés et la pertinence des règles applicables en l’espèce.
En aucun moment les membres responsables de la Commission électorale n’ont agi par intuition, encore moins empathie ou antipathie. Ils se sont collés aux textes pour rendre leur décision en se débarrassant de toutes autres charges émotionnelles. Humains ils le sont mêmes enrobés de toutes ces valeurs, ils ont choisi sinon la voie de la vérité, sinon celle de la justice, au moins, pour remplir leur mission de contrôle et de surveillance de la bonne application du code électorale et, au delà, celle des statuts de la Fédération guinéenne de football.
À aucun moment ils n’ont perdu le sens de leur mission qui ne néglige ni l’urgence ni l’importance de cette Assemblée ordinaire qui est par ailleurs consubstantiellement liée à l’élection des membres du COMEX.
Conscience que l’urgence peut être remise à plus tard sans que quelque chose ou quelqu’un en souffre et en ne le faisant pas maintenant, ils ne le feront pas non plus plus tard s’ils ne sont pas en mesure de le faire. Ils se doivent de s’assurer que c’est faisable. Alors pourquoi cette précipitation ?
Conscients aussi, au-delà de l’urgence, de l’importance surtout du COMEX. Mais ce qui reste à faire nécessite une planification et concertation soutenue et permanente entre le Secrétariat général de Fédération guinéenne de football et la Commission électorale pour plus d’efficacité et de cohérence dans l’organisation.
Puisque le COMEX est et demeure l’organe central de la Fédération guinéenne de football, il doit être installé sans faiblesse ni compromission en toute légalité et transparence par les voies les plus légitimes pour lui assurer sa durabilité voire sa pérennité.
Le Groupe de réflexion des Cadres !