Ambassade des USA & Google Hustle Academy : 80 jeunes guinéens certifiés à l’utilisation de l’IA

Leguidienfo.net : Cérémonie de remise de certificats à 80 jeunes entrepreneurs avec Google Hustle Academy. Cette formation a permis à ces hommes et femmes de booster leur production. Ils gagnent en temps en efficacité et à moindre coût. L’ambassade des des États-Unis d’Amérique en Guinée est heureuse d’avoir facilité cette formation capitale.

 « Très fier d’être ici aujourd’hui. Les États-Unis cherchent des partenariats avec la Guinée, avec de jeunes entrepreneurs guinéens afin d’obtenir une prospérité mutuelle. J’ai aimé le panel. Je suis très ravi des expériences que les panélistes ont fait montre », Miguel Boluda conseiller aux affaires publiques de l’ambassade des États-Unis à Conakry.

L’IA possède d’énormes atouts, mais attention, alerte les spécialistes : « il est indispensable de savoir que cet outil, n’est qu’un assistant », souligne Marting Lutter Keita l’un des panélistes : « l’IA a beaucoup d’atouts. Il peut permettre aux entreprises d’automatiser leurs tâches. Ses limites sont que, elle ne peut pas réfléchir comme nous le voulons. Ce sont des trucs préécrits. C’est pourquoi il faut toujours utiliser l’IA de façon intelligente », lance-t-il.

Bangaly Bachir Camara ancien journaliste de Radio Espace était déjà en avance par rapport à certains. L’intelligence artificielle a quand même permis une réorganisation de son cabinet : « nous sommes déjà en avance dans l’utilisation de tout ce qui est technologie. Ça nous aide à rebooster. On automatise nos tâches », se réjouit M. Camara.  

Ceux qui sont intéressés peuvent continuer la remise à niveau dans son cabinet. L’IA se trouve au cœur des réformes : « nous programmons une formation. Les gens sont intéressés. Tout ce que nous faisons, nous lions à Chat GPT », informe Bangaly Bachir Camara.

Plus vous avez une formation approfondie, plus vous parvenez à vous tirer d’affaires : « l’IA, vous savez, y a tout un arsenal qui s’y trouve. Ya forcément des limites mais y a aussi le fait de savoir qu’il faut apprendre beaucoup plus» indique-t-il.

Une machine ne peut remplacer l’homme certes, mais il revient aux hommes de s’adapter aux changements au risque de faire avaler par la nouvelle donne.   

Mamadou Sadio Baldé, pour leguideinfo.net

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